Comment raconter une histoire captivante ?

 

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Transcription de la vidéo

Dans cette vidéo, je te propose de faire un petit test pour savoir si tu sais raconter de bonnes histoires… ou pas.

Et la bonne nouvelle, c’est que même si tu ne sais pas comment faire, bah tout le monde peut apprendre à raconter de belle histoire.

Et si tu restes jusqu’à la fin de cette vidéo, tu vas connaître les trois outils les plus importants pour savoir comment intéresser les gens, même si a priori ton histoire n’est pas très intéressante.

J’ai donc choisi plusieurs extraits, qui vont te permettre de comprendre la bonne façon de raconter une histoire que les autres ont envie d’écouter.

Alors sans plus attendre …

La première leçon est directement tirée de n’importe quel bon film.

Pour raconter une bonne histoire, commence toujours par donner le contexte.

Toutes les bonnes histoires démarrent automatiquement avec une situation initiale, qui va avoir pour objectif de placer le décor.

Cette partie elle va te servir à poser les bases. Elle va te servir à faire visualiser du mieux possible la suite de ton histoire à ton interlocuteur.

Écoute par exemple Marshall alors qu’il commence une histoire a priori inintéressante… mais qui pourtant va totalement intéresser ses amis.

[Extrait : disponible dans la vidéo ci-dessus]

Maintenant, le meilleur moyen de raconter une mauvaise histoire et de créer ce sentiment de « Je n’ai pas envie d’écouter ce que tu me racontes »…

C’est en ne donnant pas le contexte de ton histoire.

Donc, la première chose que tu dois faire c’est de créer une phrase comme celle-ci, qui va permettre à l’autre de mieux comprendre la situation dans laquelle tu te trouvais.

Ici, l’histoire de Marshall n’est pas folle en soi.

C’est juste l’histoire d’un mec qui raconte le jour où il a mangé le meilleur burger de sa vie.

Mais s’il avait commencé son histoire en disant simplement « Oh ça me rappelle le jour où j’ai mangé un super burger » ça n’aurait pas eu le même impact.

Les gens ont besoin de comprendre le contexte dans lequel tu te trouvais pour accrocher à ton histoire.

Dis comme ça, ça peut sembler évident, mais fais attention et remarque combien de personnes commencent leurs histoires en disant quelque chose de sans intérêt.

Il y a quelques jours, j’ai même entendu quelqu’un commencer son histoire en disant « Vous ne vous en souciez probablement pas, mais… »

Pourquoi voudrions-nous écouter une histoire qui commence de cette manière ?

Comparez cela à l’histoire de Marshall

[Extrait : disponible dans la vidéo ci-dessus]

Donc… toutes bonnes histoires commencent par placer le décor. Le principal objectif c’est que tes auditeurs comprennent facilement le contexte dans lequel tu te trouvais. 

      

Et c’est seulement à ce moment-là que tu pourras passer à la deuxième étape de ton histoire : l’élément perturbateur.

[Extrait : disponible dans la vidéo ci-dessus]

Bien sûr, raconter directement la fin de ton histoire est beaucoup plus tentant.

C’est humain de vouloir partager toutes les bonnes choses qui nous est arrivées dans la journée.

Mais tu remarqueras qu’il est beaucoup plus facile de retenir l’attention d’un groupe en racontant d’abord les étapes difficiles pas lesquelles tu es passé.

C’est ce que j’appelle l’élément perturbateur.

Les autres ont besoin de comprendre ce que tu as vécu et les galères que tu as rencontrées pour accrocher à ton histoire.

Et si tu décides de ne pas parler de ses étapes difficiles, alors ton histoire ne pourra pas être bonne.

La règle, c’est que pour captiver tes auditeurs, tu vas devoir faire appel à leurs empathies.

Et regarde à nouveau l’exemple Marshall quand il nous partage l’histoire de sa quête au burger.

[Extrait : disponible dans la vidéo ci-dessus]

Le truc que tu dois garder en tête, c’est que les histoires où tout se passe bien, personne n’a envie de les entendre.

Donc… pour raconter une bonne histoire, ne mets pas seulement en avant le résultat obtenu, mais explique aussi tous les défis, toutes les étapes difficiles par lesquelles tu as dû passer pour atteindre ce résultat.

Et c’est seulement à ce moment-là que tu pourras passer à la troisième étape de ton histoire : la consécration

[Extrait : disponible dans la vidéo ci-dessus]

Et oui enfin… après avoir donné le contexte de ton histoire, après avoir décrit tous les problèmes rencontrés

C’est à ce moment-là et uniquement à ce moment-là que tu pourras enfin raconter la chute de ton histoire.

     

Cette troisième partie c’est un peu comme « le tout est bien qui finit bien » des dessins animés.

Après avoir rencontrés tout un tas de problèmes, après avoir bravé de nombreuses péripéties, le héros de l’histoire gagne enfin face au grand méchant, et tout est bien qui finit bien.

Cette troisième partie c’est l’aboutissement du récit, c’est le résultat que tout le monde attendait, et c’est exactement ce que tu dois faire pour raconter de bonnes histoires.

Donc… à partir de maintenant, la prochaine fois que tu vivras une expérience que tu veux raconter.

Demande-toi avant de commencer comment est-ce que tu pourrais articuler cette histoire pour donner envie à tes auditeurs d’écouter ce que tu as à dire.

Et si tu appliques ce que l’on vient de voir ensemble, ça va devrait t’aider à prendre ton public du début à la fin en lui racontant une bonne histoire qu’il aura envie d’écouter.

Parce que comme je te l’ai expliqué en début de vidéo, tous les plus grands films suivent ce même schéma narratif.

Prenons l’exemple de Star Wars.

La première chose que l’on voit au début du film, c’est le contexte de l’histoire.

L’objectif ici comme on l’a vu, c’est de nous expliquer la situation de départ.

La deuxième chose que l’on va ensuite voir, c’est qu’un élément va venir perturber le bon déroulement de l’histoire.

Rappelle-toi : les histoires où tout se passe bien ne sont pas intéressantes.

Pour raconter une bonne histoire, tu dois inclure un élément perturbateur, un défi auquel tu as dû faire face pour ensuite triompher.

Dans l’exemple de Star Wars, on voit sans arrêt les jedi combattre la menace et faire face à tout un tas de problèmes qui surviennent.

Et c’est uniquement à partir du moment où ils réussissent à braver tous ses obstacles qu’ils triomphent.

On arrive alors dans la troisième partie de l’histoire : la consécration.

Et la plupart du temps, on retrouve ce fameux tout est bien qui finit bien.

    

Et d’ailleurs en parlant de tout est bien qui finit bien…

Si aujourd’hui tu ne sais jamais trop quoi dire aux autres quand tu discutes avec eux.

Et si en plus tu ne sais jamais trop comment engager tes conversations.

Alors j’ai créé un petit guide pour toi… où tu vas découvrir les conseils que je donne à mes clients pour les aider à avoir plus de conversations avec les autres.

Pour ça, bien sûr, il existe des techniques que je vais justement te dévoiler à l’intérieur.

Si tu souhaites recevoir ce guide dans ta boite mail, alors clique sur le premier lien qui se trouve dans la description de cette vidéo.

Tu verras, je vais aussi te donner toutes les bonnes pratiques à maitriser pour apprendre à intéresser les autres hyper facilement grâce à une technique de conversation que très peu de personnes connaissent.

Petit disclaimer si ça t’intéresse : ce guide est uniquement pour les personnes qui souhaitent apprendre à devenir plus à l’aise avec les autres.

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À tout de suite.